par Michel Valdrighi, 3X ans, bonne à tout faire du web le jour, superhéros injustement méconnu la nuit.
Il y a moins d’une demie heure, un mien collègue que j’aurais la prétention d’appeler un ami vient de se marier avec son compagnon.
Félicitations Laurent, et vivement que d’autres puissent connaître ce bonheur sur nos terres. Je porte un toast à votre union ce soir.
Le Musée du Qui Branlay. (l’original)
Buttons est un appareil photo qui capture le moment sans objectif. (via)
Le principe : on appuie sur le bouton, l’appareil va chercher sur Flickr une photo prise au même moment par quelqu’un d’autre, et (selon le temps que ça prendra) on a une photo à l’écran au bout de quelques minutes à quelques heures.
Somewhere there is some place, that one million eyes can’t see
And somewhere there is someone, who can see what I can seeSimple Minds, Someone Somewhere In Summertime
(Bonus track : No gangsters please!)
Galvani n’en a pas rêvé, mais ils l’ont fait quand même : un serveur web dans une grenouille.
Recommandé par des influenceurs !
Copié-collé par des influençables !
Mieux que le jour où le monde entier a sauté pour changer l’orbite de la Terre, la nuit où une fille tourne sur place dans le sens inverse des aiguilles d’une montre pour ralentir sa rotation.
Shortly after takeoff, Varnier nodded off, leaning his head on Tsikhiseli. A stewardess came over to their row. “The purser wants you to stop that,” she said.
“I opened my eyes and was, like, ‘Stop what?’ ” Varnier recalled the other day.
“The touching and the kissing,” the stewardess said, before walking away.
Tsikhiseli and Varnier were taken aback. “He would rest his head on my shoulder or the other way around. We’d kiss—not kiss kiss, just mwah,” Tsikhiseli recalled, making a smacking sound.
[…]
The captain told Tsikhiseli that if they didn’t stop arguing with the crew he would indeed divert the plane.
À rajouter à la liste des interdits dans l’avion : embrasser son ami quand on est homosexuel (via).
Merci, American Airlines.
Entre deux microréveils, une plage. Sur la plage, un homme et une femme ont dansé et chanté We mostly have legs sur l’air de You only live twice. Ils avaient cinq jambes et un bras.
Parce qu’en ce moment, je bouge je bouge je bouge je bouge je bouge, mais je n’accomplis rien ?
Quand Greenpeace se soucie des trous du dormeur, un armurier se soucie du val.
Le poëte qui mangeait des lions dans son antre de pierre, de l’oulipo en chinois classique (à écouter).
<Hari> Vidar, ({)
<michel_v> is this the smiley for “I fart in your general direction?”
<Vidar> haha
<Hari> no it’s a hug.
Édifiant, ce que pensaient les Républicains américains du terrorisme il y a dix ans sous Bill Clinton.
What the duck!, le webcomic d’un canard photographe avec des vrais morceaux de vécu.
Vous saurez où ne pas en boire : café le plus cher de Paris, sur Flickr.
Une brève lecture la charte néthique montre que le blog associé à la charte ne peut être néthique.
Démonstration :
Ne reprochez pas au gestionnaire du blog, le comportement des participants.
… suivi de …
Les commentaires de ce blog sont modérés, le modérateur se réserve le droit de publier ou de ne pas publier les contributions.
… c’est un peu prendre les lecteurs pour des cons : la clause de non-responsabilité du gestionnaire du blog est nullifiée par la modération a priori, qui donne au gestionnaire le contrôle (et la responsabilité légale) de ce qui se dit dans les commentaires.
De fait, demander au lecteur de ne pas questionner le gestionnaire sur le contenu des commentaires, tout en exerçant un contrôle actif sur les dits contenus est du ressort de l’hypocrisie la plus crasse.
Le beurre et l’argent du beurre : merci la néthique !
Ce soir là, il a neigé.
Une tache blanche un peu loin à un bout arbitraire de cette rue qui n’en finit pas d’encercler le sud de la ville.
J’ai marché vers elle, sans presser le pas. Dans mes jambes un gamin qui n’avait vu la neige qu’une fois courrait incrédule.
Des chaussures taille 28 trempées, la couleur bleue, du gris, du vert, sur l’étendue blanche au pied de la brique rouge.
Je m’arrête un instant et je l’entends déjà qui fait crisser la neige au creux de ses mains, sur les bonnets sur les parkas sur les nez des autres gosses.
Une bataille de boules de neige de plus, sa première.
Ce soir là, une affiche quatre par trois a chuté de son piédestal, comme un gros flocon blanc sur le trottoir.
Je me suis arrêté un instant et je lisais déjà les boules de neige et les bonnets de laine, dans les pas d’un enfant.
zengun (mon ancien blog anglo/francophone, mai 2000 à mai 2006)