intraordinaire 

michel v mange des enfants.

par Michel Valdrighi, 3X ans, bonne à tout faire du web le jour, superhéros injustement méconnu la nuit.

2007 11 09

encore un gros trou de sécurité sous Mac OS X

Le laisser-aller chez Apple me laisse décidément sans voix…
C’est qu’il pourrait attraper froid, Steve Jobs, avec ce trou, là !

(Et ce qui est fabuleux là dedans, c’est qu’il y ait des fans pour se déplacer sur un aéroport et prendre en photo l’atterrissage sans encombre du Steve. L’histoire ne dit pas s’il a embrassé le sol français à genoux comme un de ses ex-confrères gourous.)

15:10 | 0 commentaires | tags :

2007 11 08

We are the 90’s

1 shot: 3.50 Euros
2 shots: 7 Euros
3 shots: 10.50 Euros
4 shots: 14 Euros
5 shots: 17.50 Euros
6 shots: 21 Euros
Voir kwyxz danser sur Worlds Apart, 2 Unlimited, Alliance Ethnik et Menelik : priceless

03:03 | 1 commentaire | tags :

2007 11 04

Mmmm, un bon repas de geek… Y’a bon la pizza hamburger-frites-nuggets !

23:09 | 2 commentaires | tags :

mots

la photographie d’un sourire

Il se pencha et prit une photographie sur le bureau. Il regarda le visage sur la photo et sourit. Comme un bébé qui reconnaît un visage familier. Il regarda le visage et sourit. Le visage souriait, lui aussi. Il souriait avant qu’il ne sourie lui-même et il continuerait à sourire s’il s’arrêtait d’en faire autant. La personne sur la photo souriait quand on l’avait photographiée. Quand on avait pris la photo, le sourire était entré dans la photographie. Le sourire de la photographie n’était pas un vrai sourire mais la photographie d’un sourire. L’appareil photo n’avait pas pris le sourire en photo, mais la photographie du sourire. Il savait que la photographie n’était qu’une photographie mais que le sourire sur le visage de la personne photographiée était sincère et qu’il venait de l’intérieur.

Il posa la photographie sur le bureau et l’observa. Bien qu’il n’en fût pas l’auteur, il possédait la photographie. Il pouvait la regarder et lui sourire ou bien la regarder et ne pas lui sourire. Il n’était même pas obligé de la regarder :il était libre. Il se leva, jeta un coup d’œil alentour et sourit.

Tandis qu’il souriait, il lui semblait que son sourire était bien réel. Ce n’était pas la photographie d’un sourire mais un réel sourire, un sourire qui naissait en-dedans et se propageait au-dehors. Il venait du plus profond de lui-même, s’épanouissait sur ses lèvres, et se répandait partout dans la pièce. Le sourire était réel et la pièce aussi était réelle. Rien n’était réel auparavant et à présent, tout était réel. Absolument tout.

Daren King, Le mieux est l’ennemi du bien (in Les Nouveaux Puritains)

2007/11/03 09:41 | 0 commentaires | tags :

meule de foin

le passé

et vous êtes ?

À l’aréoport.

pouvoirisé par

WordPress et une équipe de hamsters joviaux
…et des poneys !

©2006-2024 Michel Valdrighi (Dinoblogueur -1235 avant LLM)
contact : michel point (la vingt deuxième lettre de l'alphabet) @ (la lettre juste après le F) mail point com