par Michel Valdrighi, 3X ans, bonne à tout faire du web le jour, superhéros injustement méconnu la nuit.
Je vous l’avais pas dit vu que j’essaie d’écrire de vrais posts de temps en temps et que je n’ai pas pu accoucher de celui-ci à temps, mais je suis entré en zone GMT+8 dimanche dernier. (Et je devais avoir le net, mais les voies des modems câble de Hi-net sont impénétrables.)
Même que bientôt vous aurez des photos, et mes impressions sur la médecine traditionnelle chinoise (en vacances, je ne trouve rien de mieux que de me froisser le dos le premier jour).
Sur ce teasing au suspense insoutenable, je vous dis à dans quelques jours !
(Et je me prépare à décoller pour Hong Kong.)
Pour paraître vierge et pucelle comme devant des filles qui se sont fait mettre la paille sous le ventre, j’ay ouy dire à un empirique ces jours passez : qu’il faut avoir des sangsues et les mettre à la nature, et s’en faire par là tirer et sucer le sang, lesquelles sangsues, en suçant, laissent et engendrent de petites ampoules et fistules pleines de sang ; si bien que le galant mary, qui vient le soir des noces les assaillir, leur crève ces ampoules dont le sang en sort, et elle s’ensanglante, qui est une grande joye à l’un et à l’autre ; et par ainsi, l’honneur de la citadelle est sauf. Je trouve ce remède bon et souverain…
Pierre de Bourdeille, abbé de Brantôme — XVIème siècle
Ah, que n’avait-elle disposé de sangsues, la pauvre « future divorcée contre son gré » médiatisée…
(Trouvé chez Roger Felts, via Olenka aux pieds vagabonds, et probablement extrait de Vies des dames galantes.)
Quand on prend comme hypothèse que « tout être humain normalement constitué croit en Dieu », on peut arguer que tous les problèmes de greffe peuvent être réglés en tuant les athées, puisqu’il ne seraient pas « entièrement humains ».
(Via FSTDT, inépuisable source de sagesse chrétienne fondamentaliste.)
Le Vaginicola.
(Blague à part, la galerie des Biomedical Image Awards vaut le coup d’œil.)
zengun (mon ancien blog anglo/francophone, mai 2000 à mai 2006)