par Michel Valdrighi, 3X ans, bonne à tout faire du web le jour, superhéros injustement méconnu la nuit.
Quand pour écrire un poème d’aucuns prennent leur plume, leur Bic bleu, ou leur traitement de texte, Austin Kleon prend son marqueur pour écrire l’espace non-lu entre les mots.
Les mots eux, viennent du New York Times.
Ses Newspaper blackout poems (via) révèlent une poésie latente derrière les phrases bêtement déclaratives, comme celle qu’on approche l’esprit rêveur en lisant en diagonale sans pouvoir la fixer. (Un de mes favoris.)
zengun (mon ancien blog anglo/francophone, mai 2000 à mai 2006)