par Michel Valdrighi, 3X ans, bonne à tout faire du web le jour, superhéros injustement méconnu la nuit.
J’admets, j’avoue, je mea-culpise platement : je n’ai pas parlé du Festival de Romans.
Je suis un enfoiré, je mérite ce courroux.
Alors je vais en parler succinctement : sans vouloir déprécier la qualité des finalistes, les concours où il suffit d’avoir un gros nombre de visiteurs pour arriver en finale, très peu pour moi.
C’est malheureusement le meilleur compromis (quand on nomme un jury il y a toujours une bande de fâcheux pour en critiquer la légitimité), mais le résultat est qu’on ne fait qu’accroître la visibilité de happy few qui en ont déjà à revendre.
Le Festival de Romans n’est donc pour moi qu’un exemple de plus des power laws du web. Aussi l’ai-je innocemment ignoré.
(Tiens, cette loi a t-elle un nom français ?)
zengun (mon ancien blog anglo/francophone, mai 2000 à mai 2006)