par Michel Valdrighi, 3X ans, bonne à tout faire du web le jour, superhéros injustement méconnu la nuit.
Il est huit heures, et demies, neuf heures ou plus.
Des bonne journée, des travaille bien, des à ce soir, des bisous.
Puis deux portes qui se ferment lentement, la mienne et la sienne, celle de l’appartement et celle de l’ascenseur — parfois l’inverse.
Enfin l’instant que je chéris chaque jour, quand la lente fermeture des portes nous dissimule (lentement), et qu’il ne reste à voir à l’un que le sourire de l’autre.
Un matin, deux matin, mille matins. J’espère ne jamais m’en lasser.
zengun (mon ancien blog anglo/francophone, mai 2000 à mai 2006)
Merci pour avoir partagé ça.
(on ne commente jamais assez sur ce genre de billet qui, mine de rien, fait monter le karma du monde)
mais je vous remercie pour votre partage ^o^