par Michel Valdrighi, 3X ans, bonne à tout faire du web le jour, superhéros injustement méconnu la nuit.
Les disparités entre départements sont encore plus fortes en termes de pauvreté monétaire que de niveaux de vie médians. Ainsi, le taux de pauvreté en Corse est plus de trois fois plus élevé que dans les Yvelines, département où il est le plus faible.
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Le Languedoc-Roussillon et la Corse se caractérisent par une pauvreté élevée qui n’épargne aucune classe d’âge. Les couples, avec ou sans enfant, comme les personnes seules, sont concernés. Les familles monoparentales, plus nombreuses en proportion, sont touchées plus qu’ailleurs.
J’aimerais savoir maintenant qui vit aux crochets de la République, qui coûte le plus au gentil contribuable français de souche, qui est un infâme privilégié entre le ménage qui vit avec moins de 9000 euros par an et celui qui en reçoit autant en déduction d’impôts à chaque nouvelle « réforme ».
Ça doit être les Corses, ils ont le soleil pardi. Il paraît que ça rend la misère moins pénible.
(À lire aussi : La Corse terre de rencontre entre grande richesse et grande pauvreté ?)
zengun (mon ancien blog anglo/francophone, mai 2000 à mai 2006)