par Michel Valdrighi, 3X ans, bonne à tout faire du web le jour, superhéros injustement méconnu la nuit.
Le 10 avril non, le 29 septembre oui.
Nicky vient de me signaler que sur mes deux derniers posts avec photo, on ne tombait pas sur la photo en taille originale mais sur celle d’un bébé.
Stupeur, incompréhension, comment est-ce arrivé ?
Tout simplement parce qu’il y a quelques jours, pour simplifier la publication des posts photo, j’ai codé un petit script en PHP pour générer le HTML à ma place. Le script prend l’URL de la photo, utilise l’API oEmbed de flickr pour obtenir toutes les données nécessaires (taille, nom, etc), et me pond le HTML à insérer dans le post.
Dans ce petit script en PHP, j’utilise proprement sprintf()
et, comme les ID flickr sont numériques, %d
pour replacer l’ID de la photo.
Et là, c’est le drame : les ID flickr ont dépassé 2^31, mon PHP n’est compilé qu’en 32 bits, et les ID de mes photos devenaient 2^31-1, soit 2147483647.
…Pfiou, fin de la petite parenthèse geek. (Et mes félicitations aux parents, joli bébé.)
Et hop, passage discret sous WordPress !
Enfin débarassé de l’étrange bestiole en Rails qui s’avérait bien trop ingrate et chiante à modifier ; l’encéphalogramme plat du projet depuis un an m’a motivé pour finalement revenir au meilleur blogware du monde.
Les 5 dernières photos en haut à droite reviendront quand le plugin sera prêt.
Si vous rencontrez des bugs, faites moi signe avec un commentaire !
Vous vous en doutiez, une étude le confirme : les gens sont cons ; vous pourrez mettre n’importe quoi dans une popup, ils clickeront OK sans la lire, par pur réflexe.
He’s got a Ctrl key from an old keyboard, and every now and again he’ll re-discover it in a drawer or under a plate of Chinese food or balanced on top of the tumble dryer, and he’ll turn to someone and hand them the key and say, “I think you need to take control.”
Stuart Langridge, Goodbye, Jono
Stop voting for people you want to have a beer with. Stop voting for folksy. Stop voting for people who remind you of your neighbor. Stop voting for the ideologically intransigent, the staggeringly ignorant, and the blazingly incompetent.
Vote for someone smarter than you. Vote for someone who inspires you. Vote for someone who has not only traveled the world but who has also shown a deep understanding and compassion for it. The stakes are real and they’re terrifyingly high. This election matters. It matters. It really matters. Let me say that one more time. This. Really. Matters.
Michael Seitzman, Sarah Palin naked
This is a woman chosen because of her attractiveness, both physically and ideologically, to a particular type of person. That person is not looking for depth. Not remotely. That person is looking for things that are just plain wrong. Not different, wrong. And one of those things is a padlock on your uterus. Now let’s talk about sexism.
Michael Seitzman, Sexist? Not So Fast
Sur un ton plus léger, un discours commun de Sarah Palin et Hillary Clinton sur le sexisme. Et wow, naked !
Voilà, c’est fini ; et c’est parti pour un autre année de Paris, de gris et, ça je l’espère, de lumières.
Toi, toi, et toi : je vous ai vus vous connecter sur FaceBook à diverses heures de la journée, parfois sur des durées de quinzaines de minutes, pendant votre temps de travail ouvré.
Je ne suis pas une balance, je veux juste savoir la réponse à la question qui me brûle les lèvres depuis : quelle quiche aztèque, quel superhéros injustement méconnu, et quel protozoaire êtes-vous ?
…Oh, je vous vois déjà essayer vainement de dénoncer mon bluff. Peine perdue.
C’est que FaceBook, via le chat intégré permet, à qui s’y connecte avec autre chose qu’un navigateur (dans mon cas, Adium), de surveiller très facilement les entrées et sorties de vos amis sur la plateforme.
Je viens d’observer d’un œil distrait le ballet de mes connaissances, pour voir. Sur une heure, on peut dégager d’intéressants profils d’utilisation, entre ceux qui se connectent l’espace de vingt secondes et ceux qui gardent le site ouvert en permanence dans un onglet. Qui est accro, qui est casual.
Le moment où vous avez perdu cet aspect de votre vie privée, c’est quand vous êtes devenu(e) mon ami(e).
Et soit le redesign me désoriente, soit j’ai besoin de nouvelles lunettes, soit il n’existe ni moyen de filtrer qui peut voir votre statut online, ni statut « invisible ». (Quand on peut ajouter son boss comme « ami », c’est fâcheux.)
Alors faisez comme moi, clickez sur le lien « offline » du chat avant de vous rendre au bureau s’il vous faut absolument, pendant vos heures de productivité intense, poker vos camarades et déterminer avec précision si vous êtes plutôt « string en dentelle de Maïté » ou « tablier de Maïtena Biraben ».
(Ou restez connecté(e), profitez que votre supérieur(e) ne sait pas encore qu’il/elle est fliqué(e) par le chat, et notez ses heures de connexion. Ça peut toujours servir.)
Bonus track : Grâce à Facebook, j’aime quand mes amis sont sales.
zengun (mon ancien blog anglo/francophone, mai 2000 à mai 2006)