par Michel Valdrighi, 3X ans, bonne à tout faire du web le jour, superhéros injustement méconnu la nuit.
J’aimerais profiter que mon interface WordPress est ouverte pour couper court aux rumeurs : oui, on survit au passage à la trentaine.
Ce n’est donc pas une mort tragique pour cause d’accident calendaire qui aura privé ce blog de nouveaux posts : j’ai de meilleures excuses.
In the movies, zombies are always hungry, no matter how many supporting actors they consume. The most likely explanation is that zombies don’t have a properly functioning ventromedial hypothalamus: the region of the brain that lets you know whether you’ve eaten enough. The result is hyperphagia. Zombies will eat and eat and eat, but never feel satiated.
That raises a slightly awkward question: If zombies are constantly eating, then how come they never poop?
Schlozman doesn’t know for sure, but he has at least one promising theory: Maybe the living dead are constipated.
Now we know why zombies are always moaning.
Maintenant que vous savez que les zombies sont constipés, vous serez peut être intéressé par le reste de la description exhaustive de leur neurobiologie.
Avery Edison It seems like being caught between a rock and a hard place would only be a problem if we lived in 2D.
Le point commun de ces scènes : selon RunPee.com ce sont les moments idéaux pour aller pisser pendant le film ; on vous y fait même un résumé de ce que vous aurez raté pendant ces 5 minutes.
Ne laissez plus votre vessie vous gâcher le ciné.
- Lui :
- Oh regarde, là le titre est très explicite, on reconnaît bien l’oiseau aux ailes ceintes du bleu de l’or, qui survole le petit chien au cœur gros comme ça dans la prairie !
- Elle :
- Je ne sais pas, j’aime bien mais je vois juste des tâches de couleur moi.
- Elle :
- Ah viens voir, j’adore celui-là, « Femme, Oiseau, Étoile » !
- Lui :
- Mais mais mais, quel splendide arbre à couilles ! »
Avery Edison 40 days wandering the desert in a time without deodorant and still the guys in church won't let me call Jesus a filthy Jew.
Les gens heureux n’ont pas d’histoire, qu’ils disaient.
Depuis la dernière fois que j’ai posté autre chose qu’une photo :
1234567890 ! \o/
Zombies, goules, hommes-poissons, martiens et autres créatures, tremblez… Les humains sont parmi vous ! (via)
En juillet dernier, j’ai pris un forfait « iPhone » chez Orange, qui ne s’appelait pas encore Origami et qui comportait la télévision illimitée (en plus de l’option appels illimités vers 3 numéros). Quelques rires avec le conseiller à l’époque, vu qu’il n’existait alors aucun moyen de regarder la télé : on était d’accord qu’il s’agissait soit d’un teasing pour la future fonctionnalité, soit tout simplement d’un attrape-nigaud pour attirer un peu plus de clients potentiels vers l’iPhone.
Plusieurs mois à payer pour de la télé que je ne peux pas regarder, et voici l’appli qui débarque.
Je l’installe, je regarde M6 une trentaine de secondes (la chaîne avait ce petit logo qui indiquait que l’accès était gratuit), la qualité est bonne, je laisse l’appli de côté pour quand l’usage se fera sentir.
Et surprise, dans ma facture du mois : ces trente secondes, soit 825 kilo-octets de données, m’ont été facturés 81 centimes.
Si j’avais regardé un match de foot, la facture serait montée à 200 euros. Ça fait cher du pay-per-view.
Quant à l’option 3 numéros illimités, vu que j’ai tardé à leur envoyer mes trois numéros préférés elle a tout simplement disparue et je suis invité à payer 12 euros de plus pour elle.
Youpi Orange, ou comment pour le même prix on vous enlève une à une les options qui étaient comprises dans votre forfait, pour les rendre payantes sans vous prévenir et surtout sans baisser le prix du reste du forfait.
Je suis de plus en plus content de payer un extra pour n’être engagé chez ces enflures que jusqu’en juillet, ces pratiques commerciales me débectent…
(Et dès que je retrouve mon contrat original, c’est un courrier à la DGCCRF qui part.)
Stephanie Booth fait partie de mes incontournables.
Je tapais encore laborieusement des <table> que Stephanie parlait déjà d’utiliser une obscure technologie à base d’accolades pour mettre en page. C’est en lisant son blog que j’ai découvert et testé ces techniques CSS ; c’est par ses explications que j’ai compris que ça pouvait être facile.
J’avais renoncé à IRC, Stephanie m’a montré plusieurs canaux intéressants où les idées fusaient.
S’il y a un réseau social qui vaut le coup, un moyen de communication nouveau, une nouvelle pratique bloguesque, je sais que j’arriverai dessus après elle, et qu’elle en aura calmement trouvé (et blogué) les points forts et faibles.
Stephanie est sur tous les fronts, une touche à tout extraordinaire ; je crois secrètement que ses journées font 42 heures.
Pourquoi cet éloge ?
Parce qu’aujourd’hui 24 mars, c’est l’Ada Lovelace Day, une occasion de bloguer à propos des femmes qui influencent les nouvelles et anciennes technologies, et plus particulièrement d’une femme qui a été un modèle pour moi ces dernières années. (Et à qui je dois tant.)
(Quand Stephanie m’a parlé de l’idée de Suw, je ne savais pas encore que je finirai par vous parler d’elle. Et ça me désole de ne pas avoir pris plus de temps pour exposer tout le bien que je pense d’elle, et de le faire si hâtivement et maladroitement, mais il faut bien publier le 24 mars !)
zengun (mon ancien blog anglo/francophone, mai 2000 à mai 2006)